[Test] Tamron SP 17-50/2.8 : parfait pour les amateurs et pour voyager léger

Cett fois-ci, remontant à Paris pour 4 jours, j’ai pris le partie d’aller voir chez Geek-Trend ce qu’ils auraient pour correspondre à mes besoins, en testant un objectif récemment arrivé, ce fut le Tamron SP 17-50mm F2.8 XR Di II VC. J’aime les challenges stupides, je suis donc arrivé avec juste mon boitier et un 50, me forçant donc à faire tous les shoots prévus avec le Tamron, comme un amateur n’ayant investi que dans un seul caillou ou ayant un tout petit sac photo.

Déjà, les bagues sont équivalentes aux objectifs Tamron pro, donc très agréables, et l’objectif est léger. Donc parfait quand comme moi on vit avec son sac greffé à l’épaule quand on bosse (faut que je prenne un sherpa/assistant un de ces jours, je fais la fortune de mon osthéo).

Premier test, le plus dur, photo de spectacle, de nuit, dans une salle inconnue… Pas très content du résultat, mais beaucoup de paramètres délicats à estimer, ne connaissant pas la salle et l’emplacement des lumières, le résultat est détaillé ici. Le caillou réagit vite, même si je préfère rester en manuel pour essayer de mieux suivre les lumières (mon D200 devient un peu vieux quand les éclairages bougent trop vite).

Deuxième test, deux jolies comédiennes en balade dans Paris, avec contrejours, lumières d’hiver et joli décor, un grand classique. Si le fait d’avoir un grand angle est très pratique pour les duos, le manque de piqué du caillou (tout à fait normal vu la gamme et le poids) m’ont fait passer des portraits très réussis (à mon avis) en portraits corrects.

Puis un strip burlesque Galerie Vivienne, et une http://brunoraymond.com/blogs/?p=107 avec une comédienne, où le grand angle montre sa force dans l’espace réduit de son appartement.

En résumé, ravi du test, le manque de piqué est handicapant si on bosse en JPEG, mais bon, Lightroom me permet d’en rajouter un peu artificiellement, donc un très bon choix pour un sac léger quand on veut faire un peu de tout en ville, à combiner avec un télé moyen pour avoir un sac polyvalent (genre celui-ci)

Bruno Raymond

Tamron AF18-270mm F/3.5-6.3 Di II VC LD IF

Test du Zoom Tamron 18-270mm VC / David Lefevre

En cette période estivale, et je vous défends de m’affirmer que l’été est fini (!) vos bagages sont prêtes mais il vous reste encore à boucler votre sac photo. Et là une grosse question se pose :quel objectif emporter ?

Ceux qui me connaissent savent que je ne jure que par deux types d’optiques, les zooms lumineux à ouverture constante et les optiques fixes lumineuses. D’ailleurs, quitte à choisir, ces dernières ont ma préférence. Et voilà, que je me retrouve à tester l’antithèse de mes objectifs de prédilection: un ultra zoom x 15 avec ouvertures f3,5-6,3; Donc ni constante ni lumineuse.

Vous l’aurez compris je suis parti avec un petit à priori. Sauf que, j’ai réalisé ce test en Turquie ! Alors voyons un peu ce que cet objectif a dans le ventre:

Avec un tel range, c’est à dire un tel pouvoir zoomant, ce genre d’optique n’excelle ni dans ses focales extrêmes ( 18 et 270mm ) ni dans ses plus grandes ouvertures, c’est à dire 3,5 et 6,3. Tout ce qu’on peux reprocher à une optique en terme de vignetage, distorsion et surtout manque de piqué et aberrations chromatique se retrouve ici. Alors évidemment je caricature un peu et surtout n’allez pas croire qu’on parle de chose absolument catastrophique. Pour un débutant ou un amateur sans grande exigence franchement il n’y a rien de rédhibitoire. Pour quelqu’un d’un peu plus pointilleux, il faudra absolument passer à la moulinette post-production de l’accentuation et du contraste. L’intérêt de ce zoom est ici en vérité ailleurs et double:
1-son range 2-son stabilisateur et donc pour résumer sa polyvalence.

En ayant cette caractéristique en tête vous allez vous retrouver avec un outil agréable à utiliser, bien fini et surtout pratique à l’usage. Plus besoin de s’encombrer d’un double kit, ce Tamron 17-270 VC transforme votre réflex en bridge et avec une certaine efficacité. La stabilisation notamment est pour le coup surprenante, j’ai réussi à descendre à 1/3 de seconde pour un effet de filé sur l’eau à main levée. En fait, une chose absolument essentiel à savoir est que pour tirer la quintessence de cet objectif vous devrez travailler avec suffisamment de lumière et ne pas hésiter à fermer votre diaph. Le piqué le plus homogène se situe entre F8 et F11. Et de toute façon le piqué est toujours très bon au centre quelque soit la focale utilisée (avec néanmoins une nette dégradation à 270mm) et bien sûr une baisse sensible en allant vers les bords.

Vous l’aurez compris, cet objo ne m’a pas fait changer d’avis sur mes optiques préférées mais par moment la polyvalence et la facilité d’usage sont parfois des qualités irremplaçables. A chacun de savoir ce qu’il veut et surtout ce dont il a besoin. Allez, un petit point positif supplémentaire avant de vous quitter, on dispose d’un cran d’arrêt de blocage pour éviter que le zoom ne se déploie tout seul sous l’effet de sa propre inertie lorsqu’il est pointé vers le bas.

En somme un objectif taillé pour les débutants ou les amateurs pas trop exigeants sur la qualité des images mais idéal pour qui cherche une grande polyvalence et une stabilisation efficace.

A bientôt chez Geek Trend pour un nouvel essai.Test du Zoom Tamron 18-270mm VC / David Lefevre

Face à face Nikon 60 AFS Micro / Tamron 60 Macro (Pixellistes)Face à face Nikon 60 AFS Micro / Tamron 60 Macro (Pixellistes)

Face à face Nikon 60 AFS Micro / Tamron 60 Macro (Pixellistes)

Face à face Nikon 60 AFS Micro / Tamron 60 Macro (Pixellistes)

Face à face Nikon 60 AFS Micro / Tamron 60 Macro (Pixellistes)

Encore deux objectifs macro pour ce nouveau face à face : à gauche le Tamron SP AF60mm F/2.0 Di II LD [IF] Macro et à droite, le Nikon 60mm f/2.8G ED AF-S Micro NIKKOR ! A première vue, la rencontre parait équilibrée, encombrement et poids sont assez similaires, les deux optiques sont motorisées et à mise au point interne. Il y a toutefois une différence de taille : le Nikon est une optique plein format alors que le Tamron est réservé aux APS-C ! Du coup, leur ‘bouchon arrière » sera un D300. Au centre de l’image figure le prédécesseur du Nikon, le AF 60mm f/2.8D Micro NIKKOR, qui m’accompagne depuis pas mal d’années et fera office de juge de paix.

Lire l’article complet sur Pixellistes

Face à face Nikon 60 AFS Micro / Tamron 60 Macro (Pixellistes)

Face à face Nikon 60 AFS Micro / Tamron 60 Macro (Pixellistes)

Face à face Nikon 60 AFS Micro / Tamron 60 Macro (Pixellistes)

Encore deux objectifs macro pour ce nouveau face à face : à gauche le Tamron SP AF60mm F/2.0 Di II LD [IF] Macro et à droite, le Nikon 60mm f/2.8G ED AF-S Micro NIKKOR ! A première vue, la rencontre parait équilibrée, encombrement et poids sont assez similaires, les deux optiques sont motorisées et à mise au point interne. Il y a toutefois une différence de taille : le Nikon est une optique plein format alors que le Tamron est réservé aux APS-C ! Du coup, leur ‘bouchon arrière » sera un D300. Au centre de l’image figure le prédécesseur du Nikon, le AF 60mm f/2.8D Micro NIKKOR, qui m’accompagne depuis pas mal d’années et fera office de juge de paix.

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Test complet du Tamron SP 17-50mm F/2.8 XR Di II VC

Test complet du Tamron SP 17-50mm F/2.8 XR Di II VC

Réalisé par david Lefevre, aka Metempsyc0se

Aujourd’hui je vais vous parler d’un objectif très important au yeux des photographes amateurs, voir de certains professionnels, le Tamron 17-50 f2,8 XR Di II VC. Cet objectif, spécifiquement destiné au format APS-C vient concurrencer les transtandards pro de Nikon et Canon eux aussi muni d’une ouverture de 2,8 constante. Ainsi que le Sigma 17-50 HSM

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A la prise en main on est tout de suite frappé par le soin apporté à la qualité de fabrication même si la finition n’est pas encore selon moi au niveau des plus grands. La bague de zoom est très large, agréable et coulissante et celle de mise au point, plus fine assure une bonne préhension. Elle coulisse bien, sans accros. Il n’est cependant pas possible de retoucher le point manuellement en mode af-s. La particularité du Tamron est qu’il est équipé d’une motorisation interne (ce qui le rend compatible avec des boitiers comme le D60 ou d5000) et surtout d’un stabilisateur. Malgré un très court temps de latence avant de voir l’image se stabiliser dans le viseur, le système VC est très efficace puisqu’il permet de gagner officiellement 4 vitesses et dans la pratique on n’en n’est pas si loin.

Néanmoins le Tamron n’est pas trés discret, le stabilisateur émet une petite résonance et l’af gratte un peu jusqu’à trouver le meilleur contraste. C’est un peu gênant et un peu moins rapide que la technologie HSM de Sigma. Mais on s’y fait.

Ceux qui commencent à me connaitre savent que les tests que je fais sont souvent loin des mires et des labos alors je n’ai pas déroger à cette règle même si en aucun cas mon test terrain ne peut se substituer à un verdict scientifique. Ne voyez donc ici qu’un complément.
J’ai utilisé cette optique dans le cadre d’un reportage de photographie de mariage et je dois dire….qu’elle n’a quasiment pas quitté mon boitier.

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La focale du Tamron 17-50 est un équivalent argentique 25-70mm et surtout il est équipé d’une ouverture lumineuse constante. Ceci est la contrepartie d’un range assez faible finalement mais suffisant en reportage. Cette grande ouverture permet de faire face à bien des situations surtout lorsque la lumière vient à manquer. Le piqué est très bon au centre dés la pleine ouverture et se dégrade en allant sur les bords. ça va mieux en diaphragmant et le piqué maximal est atteint des f4,5 au centre. Par contre à la focale la plus longue c’est à dire 50mm le piqué est insuffisant à pleine ouverture. C’est plus acceptable en fermant le diaph. Toujours est il que je n’ai pas trouvé la distorsion trop gênante, même si ça déforme un peu dans les coins en grand angle. Ce qui est logique pour une telle focale. Quant aux abérrations chromatiques elles sont classiquement plus présente à pleine ouverture mais encore une fois ça va bcp mieux dés f4,5.

En tout cas j’ai trouvé cette optique très intéressante et équilibrée aussi bien dans ces performances que dans son rapport qualité prix, surtout depuis que ce dernier à baissé. Il y a à peu près 120e entre les deux, ce qui est assez justifié à mon sens par la présence très agréable du stabilisateur et qui de plus fonctionne aussi avec la vidéo !

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