Test du grand angle Sigma 8-16mm F/4.5-5.6 DC HSM Canon

Le grand angle est mon outil principal quand je travaille sur une commande en architecture ou architecture d’intérieur. Déjà équipé d’un objectif sigma 10-20 mm f4-5.6 et de l’excellent 24-70 mm f2.8 canon, j’étais tenté d’acquérir un grand angle full frame depuis quelques mois. Geek Trend me propose alors d’essayer cet objectif à la couverture exceptionnelle mais réservé aux petits capteurs (13/25 mm en APS-C). Curieux de voir si ce caillou pouvait me convaincre, je saute sur l’occasion de l’emmener sur un shooting pour un essai critique en situation…

Sigma soignant ses clients, l’objectif est livré avec son pare soleil et un rangement protecteur. L’objectif est bien fini, d’un poids inspirant confiance, les bagues coulissent bien. Vissé sur mon Canon 7D, je commence le shooting. Les photos ci dessous sont sans et avec retouches, shootées en raw et travaillées avec lightroom 3.

Je commence prudemment à 10 mm pour ne pas pousser trop loin l’objectif, je n’ai pas beaucoup de temps et avant tout un client à satisfaire.

10 mm f16 1/8s 200 iso, des déformations dans les coins, rien d'irrécupérable

10 mm f16 1/10s 200 iso, un peu de vignettage, rien de génant

10 mm f16 1/20s 200 iso, le piqué est très bon par rapport au 10/20 sigma

10 mm f16 0.3s 200 iso, le rendu de l'espace est assez fidèle, la déformation due au grand angle encore reste acceptable au 10 mm

Fin de la séance, editing rapide avant de partir sur un autre lieu de photos. Je suis satisfait du résultat. A 10 mm le piqué est vraiment meilleur que sur mon 10/20mm , les modules de correction de lightroom 3 font à peu près leur travail pour la déformation, vignettage et les aberrations. Je pars sur une deuxième shooting plus confiant, bien décidé à voir ce que peut donner la couverture d’angle à 8mm…

8 mm f18 0.6s 200 iso, à 8 mm la pièce semble remonter dans le coin la déformation est très prononcée mais toute la pièce est couverte.

10 mm f18 2s 200 iso

8mm f18 4s 200 iso, non ce n'est pas un fish eye, la pièce était ronde. notez la déformation dans les coins, très marquée.

8mm f16 1/20s 200iso

Que retenir de ce test : A 8mm (soit à 13 mm en 24×36), le champ couvert est certes intéressant, mais il s’obtient au prix de déformations qui sont difficilement acceptables en photos d’intérieur. Si l’utilisation de ce caillou en 10 mm m’a séduit, le piqué étant bien meilleur que celui des 10/20 mm, je suis un peu déçu par l’impossibilité de m’en servir pour le boulot avec le champ de couverture maximum (mais ne croyons pas au père noël non plus). L’utilisation du 8 mm sera nettement plus pertinente pour de la photo d’exétrieur, ou de paysage, où les déformations sont plus acceptables, voire renforcent l’effet graphique de la photo prise. Sigma a su une fois encore proposer un objectif ambitieux, bien réalisé et offrant des performances vraiment intéressantes.

Bref, je ne sais toujours pas quel sera mon prochain grand angle, peut être le nouveau Canon 8/15 mm en série L ?

Merci à GeekTrend pour le prêt de l’objectif. A bientôt pour de nouveaux essais…

Alexis

Test Terrain du Tamron 70-200mm f/2.8 Di LD (IF) Macro sur Pentax K-7

Bonjour à toutes et tous pour un nouveau test terrain sur le K-7 Pentax.

Cette fois ci, nous allons essayer un objectif sortie en 2008 le Tamron 70-200mm f/2.8 Di LD (IF) Macro

Specifications Techniques :

Focale (mm) :  70-200 [équiv. 108-308 mm si utilisé sur Pentax – Coeff 1.54]
Lentilles/groupes :  13 groupes / 18 éléments
Nombre de lamelles : 9
Ouverture maximale/Minimale :  f/2.8 – f/32
Angle de vue : 35°-12°
Distance de mise au point minimum : 0.95m à 200mm

Mise au point : Auto Focus Micro moteur

Construction:

Pare-soleil : Fourni en plastic
Ensemble des éléments : Métal & Plastique

Taille & poids:

Diamètre de filtre :  77m
Diamètre (mm) et longueur (mm) : 89.5mm diametre x 194.3mm longueur
Poids :   1.330kg

Voici ce que cela donne monté sur le K-7 et sa poignée. Oui, cela fait un beau morceau, on ne passe pas inaperçu et on fait un peu de muscu au passage!


Le Tamron 70-200 F/2.8 monté sur le K-7

L’objectif est bien construit, inspire confiance de par sa solidité, sa finition, et son poids même si pour ce type d’objectif, il reste relativement léger car n’embarquant pas de stabilisation.

Concernant ce point, c’est un vrai pus d’utiliser cet objectif sur Pentax qui embarque la stab dans le boitier. Pour Canon et Nikon, cet objectif n’existe pas à l’heure actuelle en stabilisé!

Première sortie avec Tamron 70-200 f/2.8 :

Réveil très matinal (7h00) pour ce dimanche matin afin de rejoindre le groupe Flickr des Balades Parisiennes. Le RDV est donné sous l’arc de Triomphe pour une balade sous le thème de Paris désert en ce dimanche de la mi-aout!

Première sensation… mon sac est vachement plus lourd que d’habitude.. j’espère que je ne me trimballe pas ce lingo pour rien :o)

Première photo à F/2.8 afin de vérifier la qualité optique à pleine ouverture. Je suis agréablement surpris, c’est déjà bon.


Exif photo : 92mm , F/2.8, 1/40s, Iso 400

J’ai le Tamron 17-50 F/2.8 et je retrouve de suite le piqué des objectifs Tamron expert ainsi que le bon contraste des images.

On arrive déjà à la place du trocadero et j’en profite pour aller chercher un peu de détails sur les minis tours Eiffel:

Exif photo : 200mm , F/4, 1/1000s, Iso 200

Crop à 100% de l’image ci-desssu :

On voit que pour une ouverture à F4 avec une focale à 200mm, soit 308 avec l’APS-C on a un très bon piqué pour cet objectif.

Certe, on est en dessous d’un 70-200 Pro de chez Nikon ou Canon, mais on est aussi 3 à 4 fois moins cher!!!

Durant la suite de la balade, j’ai essayé d’exploiter les qualités d’un tel zoom pour aller ‘voler’ quelques portraits sur le champs de Mars.

Je me règle à F/4, un bon compromis pour obtenir un bon piqué et un superbe bokeh d’arrière plan. Je signale par la même que le bokeh du Tamron est vraiment plaisant.

Pour une première fois avec un objectif de cette amplitude, je commence à comprendre pourquoi le 70-200 fait partie des objos indispensables pour tous photographes pro ou expert.

Exif photo : 170mm , F/4, 1/1000s, Iso 200

Exif photo : 200mm , F/4, 1/1000s, Iso 200

Un petit test sur une ?macro? Bon faut pas rêver, le marketing est là, l’objectif à une dénomination macro, cela ne permet que de faire de la proxy et pas de la vraie macro

Exif photo : 70mm , F/4, 1/800s, Iso 200

Séance de portraits posés avec le Tamron 70-200:

J’ai vraiment apprécié d’utiliser cet objectif lors de session de shooting sur des portraits posés. Son amplitude apporte une vraie souplesse d’utilisation afin de varier les cadrages sans avoir à changer d’objectif toutes les 5mn.

Voici quelques exemples:

Exif photo : 70mm , F/4, 1/250s, Iso 200

Exif photo : 92mm , F/4, 1/400s, Iso 200

Pour des photos de sport ou d’animaux :

En portrait, il est vraiment top, par contre, ne  compter pas faire des photos sportives ou d’animaux car l’AF de cet objectif trouve vite ses limites sur des objets en mouvement.

Vous aurez beaucoup de flou. Il faut également dire que l’AF du K-7 n’est pas ce qui se fait de mieux en reflex!

Exif photo : 88mm , F/5.6, 1/160s, Iso 200

Séance nocture en pose longue :

La puissance du zoom peut s’avérer très pratique pour isoler des éléments de paysage ou des monuments.

Lors de poses longues au trépied, la bague de l’objectif permet de fixer le trépied directement au niveau de l’objectif afin d’équilibrer au mieux le bloc objo+boitier.

J’ai obtenu de très bons résultats; par contre il faut être équipé d’un pied costaud et surtout d’une rotule qui tient la charge; 3,5 kg le tout monté!


Exif photo : 70mm , F/8, 13s, Iso 100

Conclusion:

J’ai vraiment été emballé par la qualité optique de cet objectif et la facilité avec laquelle on peut isoler un sujet pour faire un portrait.

Malgré son encombrement, on réussit  vite à se faire oublier pour capturer des portraits très naturels avec ce zoom qui en PAS-C monte à 310mm!

Son seul défaut, et encore suivant l’utilisation que l’on veut faire d’un tel objectif, est la lenteur de son AF qui comparé à un canon, nikon, ou sigma dernière génération est vraiment à la traine!

Mais comme évoqué plus haut, on n’est pas dans la même gamme de prix.

Les plus :

– Bonne construction

– Bon rendu d’images contrastées et bien piquées dès F/2.8, très bien à partir de F/4.

– Très bon bokeh

– Bague de fixation sur l’objectif

– Prix attractif

Les moins :

– AF à la traine pour la photo de sport ou animalière

– Présence d’aberration chromatique en hautes lumières ( avec LR3, cela s’efface facile)

– Poids et encombrement, mais c’est la catégorie qui veut cela!

– Option macro qui s’apparente plus à du proxy

Merci de votre lecture, et rendez-vous bientôt pour le test du dernier boitier Pentax, le K-5.

Un grand merci à l’équipe de Geek-Trend.com pour leur confiance.

Photos et article de Stephane Pironon.

Vous pouvez trouver plus de photos faites avec le Tamron F/2.8 sur mon Flickr;

Test Samyang 85mm (AE) F1.4

Test du Samyang 85mm f1.4 AE.

David Lefevre

je vous présente une optique qui va me faire écrire le Samyang 85mm f1.4 AE

Samyang est un constructeur d’optique Coréen qui a sorti coup sur coup 3 optiques fixes manuelles fortes intéressantes: le fameux fisheye 8mm, un grand angle 15mm compatible avec le Full Frame et celle qui nous intérresse aujourd’hui le 85mm f1.4 AE elle aussi compatible Full Frame.

Attardons nous un instant sur la construction de cet optique.

Tout en métal, cet objectif fait forte impression, lourde et avec sa trés grande ouverture 1.4 elle fait très pro. D’ailleurs le liserait doré ferait presque illusion quant à sa provenance. La bague de mise au point est large, agréable avec son revêtement caoutchouté quoiqu’un peu dur au début. A force d’utilisation elle se rode et devient un peu plus souple. Aucun point dure n’est à noter.
Le filtre est d’un diamètre de 72cm, donc assez large, et l’arrière de l’objectif est équipé d’une bague de diaphragme allant de 1.4 à 22. La distance minimale de mise au point est de 1m ce qui est un peu dommage, c’est trop long.

Les lettres AE signifient que l’objectif communique en partie avec le boitier. En positionnant le diaph sur f22 avec les boitiers Nikon, Pentax et Sony nous disposons d’un contrôle de l’ouverture du diaphragme avec les molettes directement sur le boitier. De plus il est possible au boitier de faire la mesure de lumière et d’utiliser le mode Aperture par exemple comme à l’accoutumée.

J’ai testé cet optique avec un D90, si les résultats optiques sont d’un très bon niveau, j’y reviendrai un peu plus loin, il est tout de même assez difficile de faire une mise au point correct et rapide.
Heureusement nous somme aidés dans cette tâche par une petite diode qui s’allume lorsque la mise au point est faite. Ceci dit il me semble qu’il sera plus facile de faire la mise au point sur un vrai viseur 100% et plus lumineux. Néanmoins même sur un full frame l’ouverture de f1.4 sera encore difficile à gérer. Bien qu’il soit très agréable de jouer avec une si grande ouverture il est difficile d’être précis. La zone de mise au point est très étroite !

Qualité des images:

Cet objectif est avant tout dédié au portrait mais il ne faut pas hésiter à le sortir pour d’autres occasions. Son bokeh doux et crémeux fait fondre les arrière plan et permet des rendus un peu plus artistiques, ou créatifs. Le piqué est trés bon dés la pleine ouverture, au centre. J’en ai même été surpris. En fermant un peu, c’est à dire entre 1.8 2.2 on atteint un niveau d’excellence particulièrement étonnant pour une optique de ce prix. Sont plus gros défault est la présence récurrante d’AC même dans les ouvertures moyennes. Il y a un travail à faire de ce côté là. Néanmoins, si vous ne collez pas systématiquement votre nez sur un cliché à 200% et si vous ne faites pas de tirage de grande taille, elles ne seront pas trop génante Par ailleurs j’ai trouvé le vignetage trés bien contenu voir quasi inexistant aux ouvertures moyennes.

C’est optique nous rappel qu’en photographie la perfection n’existe pas. Evidemment le plus gros reproche que l’on puisse lui faire est d’être simplement manuel. C’est amusant, voir trés et on reprend vite des mécanismes oublié du temps de l’argentique. Mais à cette époque on disposait plus souvent de viseur large et d’un stygmomètre. A l’ère du numérique c’est un peu plus compliqué et il peut arriver souvent que l’on se trompe dans le calage de la mise au point. Du coup le cliché est flou. Néanmois cette difficulté nous oblige à repenser nos photos et notre manière de les prendre.
Vous ne ferez pas ou difficillement des portraits de rues ou des photos volés, mais avec un peu de concentration et en fermant d’un ou deux stop le diaph vous vous donnez une petite latitude supplémentaire. Point non négligeable, cela peut être un plus que d’être équipé d’un appareil avec le live view. J’ai pour ma part rarement autant utilisé le mien.
De toute façon il es clair que ce 85mm samyang oblige prendre son temps. Mais c’est vraiment un bonheur et je ne sais combien de fois j’ai été surpris d’avoir non seulement la netteté dans la zone que je voulais mais en plus une très bonne qualité ! Et puis une fois apprivoisé, une foi dans la rue, on se lâche, on ose faire le point un peu plus vite, plus spontanément et … ça marche !

Vous l’aurez compris j’ai été complètement séduit par cet optique. Et je pense qqu’il faudrait que je fasse un test avec un full frame pour savoir si je l’adore ! Evidemment son tarif low cost y est pour beaucoup, mais là, vraiment, je ne vois aucune raison de se priver si vous n’êtes pas un adepte du portrait volé. Et encore… Pour l’anecdote, cet optique m’a obligé à aller voir des gens, des inconnus dans la rue pour leur demander de poser une ou deux secondes…et certains se sont prêter aux jeux…

Le positionnement de cet objectif est un peu ambigu, certains diront qu’en économisant un peu vous aurez un 85 af mais qui ouvre à 1.8… Par ailleurs il ne peut rivaliser avec les 85 1.4 des grandes marques tel que Canon ou Nikon et je suis curieux de voir le résultant avec un excellent Zeiss Planar; mais si vous n’avez pas envie de dépenser 1000e dans une optique de qualité et êtes pret à faire quelques concessions, alors n’hésitez pas une seconde. En tout cas Samyang nous montre qu’il est possible de faire des optiques de trés bonne qualité sans pour autant coûter un bras à l’acheteur.

En fait à force d’utilisation et d’essai, c’est une optique qui s’apprivoise et dont on a bien du mal à se passer. C’est personnellement un de mes coups de coeur de ces derniers mois.

A bientôt chez Geek Trend pour un nouvel essai !

Tamron AF18-270mm F/3.5-6.3 Di II VC LD IF

Test du Zoom Tamron 18-270mm VC / David Lefevre

En cette période estivale, et je vous défends de m’affirmer que l’été est fini (!) vos bagages sont prêtes mais il vous reste encore à boucler votre sac photo. Et là une grosse question se pose :quel objectif emporter ?

Ceux qui me connaissent savent que je ne jure que par deux types d’optiques, les zooms lumineux à ouverture constante et les optiques fixes lumineuses. D’ailleurs, quitte à choisir, ces dernières ont ma préférence. Et voilà, que je me retrouve à tester l’antithèse de mes objectifs de prédilection: un ultra zoom x 15 avec ouvertures f3,5-6,3; Donc ni constante ni lumineuse.

Vous l’aurez compris je suis parti avec un petit à priori. Sauf que, j’ai réalisé ce test en Turquie ! Alors voyons un peu ce que cet objectif a dans le ventre:

Avec un tel range, c’est à dire un tel pouvoir zoomant, ce genre d’optique n’excelle ni dans ses focales extrêmes ( 18 et 270mm ) ni dans ses plus grandes ouvertures, c’est à dire 3,5 et 6,3. Tout ce qu’on peux reprocher à une optique en terme de vignetage, distorsion et surtout manque de piqué et aberrations chromatique se retrouve ici. Alors évidemment je caricature un peu et surtout n’allez pas croire qu’on parle de chose absolument catastrophique. Pour un débutant ou un amateur sans grande exigence franchement il n’y a rien de rédhibitoire. Pour quelqu’un d’un peu plus pointilleux, il faudra absolument passer à la moulinette post-production de l’accentuation et du contraste. L’intérêt de ce zoom est ici en vérité ailleurs et double:
1-son range 2-son stabilisateur et donc pour résumer sa polyvalence.

En ayant cette caractéristique en tête vous allez vous retrouver avec un outil agréable à utiliser, bien fini et surtout pratique à l’usage. Plus besoin de s’encombrer d’un double kit, ce Tamron 17-270 VC transforme votre réflex en bridge et avec une certaine efficacité. La stabilisation notamment est pour le coup surprenante, j’ai réussi à descendre à 1/3 de seconde pour un effet de filé sur l’eau à main levée. En fait, une chose absolument essentiel à savoir est que pour tirer la quintessence de cet objectif vous devrez travailler avec suffisamment de lumière et ne pas hésiter à fermer votre diaph. Le piqué le plus homogène se situe entre F8 et F11. Et de toute façon le piqué est toujours très bon au centre quelque soit la focale utilisée (avec néanmoins une nette dégradation à 270mm) et bien sûr une baisse sensible en allant vers les bords.

Vous l’aurez compris, cet objo ne m’a pas fait changer d’avis sur mes optiques préférées mais par moment la polyvalence et la facilité d’usage sont parfois des qualités irremplaçables. A chacun de savoir ce qu’il veut et surtout ce dont il a besoin. Allez, un petit point positif supplémentaire avant de vous quitter, on dispose d’un cran d’arrêt de blocage pour éviter que le zoom ne se déploie tout seul sous l’effet de sa propre inertie lorsqu’il est pointé vers le bas.

En somme un objectif taillé pour les débutants ou les amateurs pas trop exigeants sur la qualité des images mais idéal pour qui cherche une grande polyvalence et une stabilisation efficace.

A bientôt chez Geek Trend pour un nouvel essai.Test du Zoom Tamron 18-270mm VC / David Lefevre