Le piqué est « soft » à 12mm a pleine ouverture f4,5 mais est tres bon dés f5,6 et excellent à f8 . Trés suffisant pour du paysage
Le piqué a 24mm est meilleur meme à pleine ouverture f5,6 et excellent à f8
Coté piqué et vu que cet objectif est dédié au paysage . Pas de soucis majeur
Concernant le piqué sur les bords c’est un peu « soft » à 12mm
RESISTANCE AU FLARE
Il convient d’etre prudent à la prise de vue , suivant l’angle d’attaque de la lumière , des flares apparassaissent assez vite .. Les deux images ci dessus sont des shoot « extremes » pour générer du flare , Mais en condition normale il se gère tres bien . Ce phénomène est principalement du au tres petit pare soleil ( UGA oblige )
DEFORMATION
Vraiment aucun problème de deformation de l’horizon même à 12mm
Bien évidemment en plongée et contre plongée , la déformation est visible , mais c’est le charme de l’UGA
Petit exemple de déformation verticale sur les bord
VIGNETAGE
12mm f4,5
12mm f5,6
Le vignetage disparait totalement a f6,3 ( Ou avec option anti vignetage du boitier D700 même a f4,5)
12mm f8
f11 16mm
CONTRASTE ET RENDU
Le contraste et le rendu de l’objectif est tres bon , même en condition de lumière difficile
Quelques exemples :
CONCLUSION :
J’ai aimé :
La Qualité de construction
Le poids et l’encombrement
L’AF rapide et précis
La distance de map mini
Le rendu générale ( contraste et couleurs)
La quasi non déformation de l’horizon
Je regrette :
Piqué un peu faible sur les bord a 12mm
Je l’ai tellement aimé qu’à la fin du test je l’ai acheté .. ca se passe de commentaire 😉
Un grand merci à Geek-Trend de m’avoir permis de tester en condition ce très bel objectif
Best seller mondial, le Sony NEX-5 représente plus de 19% des ventes au Japon des appareils de sa catégorie sur le premier semestre 2010 sachant qu’il n’a été mis en vente que… le dernier mois… Sony à voulu frapper un grand coup en proposant un appareil photo hybride à destination du grand public. Son succès est il mérité ?
Ne faisons pas durer le suspense, oui, et dans une large mesure.
14millions de pixels sur un capteur APS-C de fabrication maison (un Cmos HD) le tout dans un boitier à peine plus grand qu’un paquet de cigarette, la prouesse est déjà intéressante. Composé d’un corps en magnésium, le Nex-5 présente une esthétique assez particulière, voir tourmentée mais finalement bien pensée. La prise en main est agréable et le boitier ne glisse pas.
On trouve les habituelles connectiques, USB, port HDMI, port de la carte SD, et surtout un écran LCD de 7,5 cm et 921.000 points orientable 80° vers le haut et 45° vers le bas. Sa technologie Trueblack Xtrafine permet de rendre des noirs plus profond. Il n’est pas équipé de viseur, la visée se fait donc uniquement sur écran. Le système autofocus est par détection de contraste sur 25 points et la mesure de lumière sur 49 zones. Il possède aussi une fonction de rehaussement des ombres appelé D-Range Optimizer ainsi qu’une fonction HDR intégrée au boitier pour gagner en dynamique. La stabilisation est uniquement disponible sur certaines optiques mais l’anti-poussière est intégré au boitier. Une des particularité de cet appareil, d’où son hybridation, est qu’il est capable de filmer en Full HD 1080i 25im/s en entrelacé ou en Mpeg4 1440x1080i. L’autofocus est continu et la captation du son se fait en stéréo via un micro stéréo intégré sur le dessus de l’appareil.
Quel usage ?
Il est à mon avis important de souligner deux points majeurs concernant ce boitier.
Sony propose un boitier à destination du grand public. Si vous êtes à la recherche de la meilleure qualité d’image possible tout en laissant le boitier gérer tout les paramètres de prise de vue pour vous, alors le Nex-5 est non seulement fait pour vous mais en plus représente certainement ce qui se fait de mieux sur le marché dans ces conditions. Le boitier est très simple d’utilisation, épuré, il n’a pas de poussée d’acné susceptible d’effrayer le néophyte ou l’amateur venant du monde des compacts. Une aide contextuelle est également disponible afin de conseiller à la prise de vue.
A l’inverse, si vous souhaitez un boitier bloc-note, personnalisable et facilement manipulable, vous ressentirez rapidement de nombreuses frustrations: la molette de sélection des modes à disparue, ainsi que celle de mémorisation de l’exposition, la sélection des Isos n’a pas de touche de raccourcit et il faut passer par des menus sans rappel du dernier paramètre changé. Idem pour la mesure de lumière, l’AF etc…En fait tout les paramètres personnalisables doivent être actionnés via une navigation dans les menus. Pour l’amateur avancé ou celui qui souhaite progresser dans l’univers de la photo, le Nex-5 présente une ergonomie peu adapté à une utilisation plus « poussée ».
En revanche, et quelque soit l’utilisation Sony peut se targuer d’avoir réussi à concocté un boitier capable de fournir des images très flatteuses. L’optique du kit 18-55 est dans la bonne moyenne et le 16mm pancake f2,8 sied encore mieux au boitier. Le piqué est trés bon au centre mais va en se dégradant en remontant sur les bords, il en est de même pour le contraste. Ces optiques, sans être exceptionnelles, peuvent convenir pour un usage amateur. De plus et c’est aussi un des grands points fort de ce boitier c’est sa très bonne tenue dans les hautes sensibilités. Capable de plafonner à 12800iso, les images sont encore TRES bonnes, voir étonnantes à 1600iso. A partir de cette valeur, l’apparition du bruit de luminance et de chrominance devient de plus en plus marqué mais de façon graduelle et pas trop désordonnée. On notera une désaturation plus importante à 12800, valeur à ne réservé qu’au secours.
Enfin, en ce qui concerne le mode video. Si celui ci propose une qualité d’image remarquable au premier abord, on peut s’interroger sur certains choix: pourquoi ne pas avoir proposé du 720p au lieu d’un mode un peu bâtard comme le 1440 ? De la même façon, pourquoi se cantonner à de l’entrelacé alors que la plus part des téléviseurs HDTV lisent le progressif (les images présente donc un effet peigne qu’il faut convertir). L’Af quant à lui est rapide, doux et rentre en concurrence avec les Lumix G . En revanche, encore une fois, peu ou prou de paramètres sont modifiables, nottament la profondeur de champs, la vitesse ou les isos, seule l’exposition est décalable de -2 à +2 ev.
Conclusion:
Pour conclure Sony propose un appareil photo à objectif interchangeable doté d’un capteur de 14,2 Millions de pixel et dont la qualité d’image est d’un excellent niveau. Avec le 16mm il devient même une redoutable machine à photographier, et au vu de sa compacité permet d’être emmené partout. En revanche, son orientation grand public pénalise l’amateur avancé désireux de personnaliser son appareil photo. Il n’y a que très peu de raccourcis et il faut passer par les menus quasiment systématiquement pour changer certains paramètres comme les Isos. Le mode video permettra de rapporter des rushs de bonnes qualité à condition ici aussi de faire l’impasse sur les réglages personnalisés. Malgré cela, le succès du Nex-5 est justifié au vu de son utilisation grand public et l’amateur exigeant trouvera son compte dans une qualité d’image d’un excellent niveau.
Une nouvelle envie de tester, cette fois-ci je voulais voir ce que donnait un flash annulaire pour du portrait. Un coup de fil chezGeek-Trend qui me propose de tester le Sigma avec en plus un nouveau caillou de chez Tamron, un objectif macro de 60. Rapide calcul dans ma cervelle de moineau, 60×1.5 ça donne 90, sachant que mon objectif favori pour bosser a toujours été le 85, je fonce…
Pas eu beaucoup d’occasions de le tester, mais un shoot pour un portrait de Noël pour une très jeune fille de 6 mois et un test avec une mannequin débutante de St Jean de Luz, Joana.
L’objectif :
Joli piqué, bagues confortables et MAP facile, comme toujours chez Tamron. Je suis de plus en plus séduit par leurs objectifs, je l’avoue. Le pare-soleil est resté dans la boite, je suis toujours faché avec cet accessoire.
Juste deux reproches à faire, un futile, un plus génant. Pour raler pour le principe, je déplore le manque d’étui de transport, pour un objectif à focale fixe c’est toujours appréciable pour éviter qu’il ne prenne la poussière entre deux séjours dans le sac photo. Plus pénible, un autofocus qui pédale en lumière tamisée, obligeant à éclairer la scène par un éclair de test ou faire la MAP manuellement (l’éclair n’est pas envisageable pour de la photo de bébé).
Le Flash :
Mise en place simplissime, une bague se visse sur le porte filtre (attention juste deux tailles fournies par défaut) sur laquelle on clipse le flash, en placant le boitier de controle (piles non fournies) sur la griffe du flash. Il est fourni avec une sacoche de rangement vu que son format l’empêche évidemment de loger dans un sac photo compact.
Le manuel est clair (étonnant, non?) et permet de jouer avec les options avancées du flash en moins de 5 minutes. On peut donc débrayer une des deux lampes pour un éclairage « relief » ou baisser la puissance globale très facilement (au final j’ai tout fait avec un flash baissé à -0.7 en surexposant un poil +0.3).
Le pack :
Idéal pour bosser au flash de manière utilitaire, la combinaison permet de faire du portrait bien éclairé sans se prendre la tête, en se concentrant sur son cadre, la direction du modèle et les gouzis gouzis à faire au bébé. Je pense que c’est un bon compromis pour bosser en extérieur rapidement sans se battre avec un cobra beaucoup plus difficile à domestiquer ou un réflecteur qui demande un assistant.
Morio Ono, President de Tamron Co., Ltd., annonçait le 9 décembre dernier à Saitama au Japon la sortie d’un nouveau modèle: le Tamron 18-270mm F/3.5-6.3 Di II VC PZD (Model B008). Dans un premier temps, en monture Canon et Nikon puis ultérieurement en monture Sony. Ce zoom à amplitude x15 est une des spécificités de ce constructeur d’optiques. En voici les premières images avant sa commercialisation au pays du soleil levant, le 20 décembre de cette année.
Tamron 18-270mm F/3.5-6.3 Di II PZD
Fiche technique
Plage focale : 18 – 270 mm (éq. 27-405 mm ou 28,8-432 mm en 24×36) Ouvertures maximum : f/3,5 – f/6,3 Angles de champ (diagonale) : 75°33’ – 5°55’ Construction optique : 16 éléments en 13 groupes Stabilisation : oui (VC) Motorisation : piézoélectrique (PZD) Distance minimum de mise au point : 0,49 m Grandissement maximum : 1:3,8 Diaphragme : 7 lamelles Tropicalisation : non Pare-soleil : fourni Diamètre du filtre : 62 mm Longueur : 96,4 mm (monture Nikon) Diamètre : 74,4 mm Poids : 450 g Montures : Canon, Nikon, Sony
Ce que l’on retient surtout, c’est une nouvelle dénomination chez Tamron: PZD.
Avant de la présenter brièvement, revenons sur le sens des abréviations chez Tamron.
Di (Plein Format & APS-C) // DI II (uniquement destiné au format APS-C)
SP (Super Performance) est la réponse à un cahier des charges extrêmement exigeant.
VC (Vibration Compensation) Pour les passionnés de technologie, vous pouvez consulter le schéma ci-dessous. Pour les autres, retenez une chose, la finalité de la technologie: adieu les photos floues avec ce stabilisateur d’image.
USD (Ultrasonic Silent Drive). A l’heure où j’écris ce billet, un seul modèle Tamron propose ce mode silencieux. Il s’agit du Tamron 70-300 VC USD, qui a d’ailleurs remporté le prix EISA du meilleur zoom 2010-2011. Si vous voulez tout savoir sur le comment du pourquoi, Tamron vous éclaire sur l’interaction du « stator », du « rotor » et de la céramique « piézoélectrique » sur sa page dédiée à la technologie USD.
Et enfin, on y vient: PZD (moteur Piezo). Ce moteur permet à Tamron de gagner en rapidité, en précision, de réduire le bruit, et de gagner en taille. L’équipe Geek-Trend vous en dira probablement plus quand nous l’aurons entre les mains.