Samyang 14mm f2.8Samyang 14mm f2.8

Bonjour à tous et bienvenue chez Geek-Trend,

Aujourd’hui je vais vous parler d’un objectif sorti il y a quelques mois et attendu depuis longtemps par les photographes amateurs: Samyang 14mm f2.8.

On est déjà tout de suite surpris lorsque l’on a l’objectif en main par sa finition et son poids.
On a là un objectif tout métal, bien construit, avec un joli liseret doré qui ferait presque illusion sur sa provenance; Le pare soleil est intégré et enrobe une superbe lentille asphérique.
L’ouverture et la fermeture du diaphragme se font par une bague manuelle, à l’ancienne de f2,8 à f22
La bague de mise au point quant à elle coulisse bien.

Donc la particularité de cet objectif est d’être tout manuel. Sur les boitiers avec la mesure automatique de lumière on peut l’utiliser en mode priorité ouverture sinon il faut y aller à taton en manuel; Par ailleurs sur un APS-C de type D90 la longueur de focal est équivalent à un 21mm mais, et c’est en vérité tout l’intérêt de cet objectif, il est utilisable sur un plein format.

En ce qui concerne la qualité d’image… J’ai lu des choses hallucinantes sur certains forums où des participants ( qui ne l’avaient pas essayé bien sur ) passaient leur temps sur des pages et des pages à scruter des mires et parler de pouvoir de séparation, se plaignaient de son manque de piqué, de la distorsion etc… et écrivaient en conclusion que le canon 14 f2.8 était …mieux. … Oui c’est vrai, sauf que l’un coûte 2000 euros et l’autre est prêt de 10 fois moins cher…

Donc effectivement cet objectif n’est pas excellent, mais comme disent les anglais, il fait le job et pour le prix, on s’en contente. La distorsion est effectivement élevée, les aberrations chromatiques trop visibles à pleine ouverture et le traitement des lentilles n’est pas suffisamment poussé pour résister au flares dès que la situation est délicate. Cependant, je dois dire que j’ai pris plaisir à jouer avec cet objectif dont d’ailleurs la mise au point manuelle n’est pas un soucis puisqu’on peut facilement shooter en hyper focale;

Pour conclure je dirais que si vous compter l’utiliser de façon ponctuelle sans tirer au delà du A4, il est d’un très bon rapport qualité prix.

Bonjour à tous et bienvenue chez Geek-Trend,

Aujourd’hui je vais vous parler d’un objectif sorti il y a quelques mois et attendu depuis longtemps par les photographes amateurs: Samyang 14mm f2.8.

On est déjà tout de suite surpris lorsque l’on a l’objectif en main par sa finition et son poids.

On a là un objectif tout métal, bien construit, avec un joli liseret doré qui ferait presque illusion sur sa provenance; Le pare soleil est intégré et enrobe une superbe lentille asphérique.

L’ouverture et la fermeture du diaphragme se font par une bague manuelle, à l’ancienne de f2,8 à f22

La bague de mise au point quant à elle coulisse bien.

Donc la particularité de cet objectif est d’être tout manuel. Sur les boitiers avec la mesure automatique de lumière on peut l’utiliser en mode priorité ouverture sinon il faut y aller à taton en manuel; Par ailleurs sur un APS-C de type D90 la longueur de focal est équivalent à un 21mm mais, et c’est en vérité tout l’intérêt de cet objectif, il est utilisable sur un plein format.

En ce qui concerne la qualité d’image… J’ai lu des choses hallucinantes sur certains forums où des participants ( qui ne l’avaient pas essayé bien sur ) passaient leur temps sur des pages et des pages à scruter des mires et parler de pouvoir de séparation, se plaignaient de son manque de piqué, de la distorsion etc… et écrivaient en conclusion que le canon 14 f2.8 était …mieux. … Oui c’est vrai, sauf que l’un coûte 2000 euros et l’autre est prêt de 10 fois moins cher…

Donc effectivement cet objectif n’est pas excellent, mais comme disent les anglais, il fait le job et pour le prix, on s’en contente. La distorsion est effectivement élevée, les aberrations chromatiques trop visibles à pleine ouverture et le traitement des lentilles n’est pas suffisamment poussé pour résister au flares dès que la situation est délicate. Cependant, je dois dire que j’ai pris plaisir à jouer avec cet objectif dont d’ailleurs la mise au point manuelle n’est pas un soucis puisqu’on peut facilement shooter en hyper focale;

Pour conclure je dirais que si vous compter l’utiliser de façon ponctuelle sans tirer au delà du A4, il est d’un trés bon rapport qualité prix.

Test complet du Canon G11Test complet du Canon G11

Test complet du Canon G11

Article rédigé par David Lefevrehttp://www.memoiresdevilles.book.fr/

Aujourd’hui je vais vous parler d’un compact dit « expert » le Canon G11:
Cet appareil sorti il y a presque un an a fait beaucoup parler de lui car c’est la première fois qu’un grand constructeur sort un appareil photo +1 avec une définition moindre que son prédécesseur.
En effet si le G10 proposait 14millions de pixels, à taille de capteur identique le G11 en propose lui « seulement » 10milions. Et la qualité d’image s’en ressent.

L’appareil est un compact doté d’un zoom 28_ 140mm f2,8-4,5. Il est assez épais mais tient bien en main. Il a une petite poignée pour facilité l’appréhension et surtout de nombreux raccourcis sont disponibles. La compensation d’exposition ou les isos se règlent via un barillet sur le dessus de l’appareil tout comme la sélection des modes. La finition est impeccable.
L’écran arrière d’une résolution de 460.000points est monté sur rotules et s’articule en tout sens. C’est une véritable réussite; Les menus eux, sont clairs et simples. Ils proposent de nombreuses options de personnalisation. Tant en prise de vues qu’en lecture.
C’est surtout au niveau de la qualité d’image que le G11 se distingue. Ne proposer que 10mp de pixels quand tout le monde se bat pour gagner la course à la définition était un pari risqué et pourtant le résultat est là.
Ce qu’il est intéressant de constater c’est que le bruit n’est jamais réellement absent. De 200 à 400iso le lissage se remarque même avec le réducteur de bruit désactiver. A 800 iso le phénomène s’accentue et certains détails commencent à être un peu grignotés. Pourtant ce qu’il faut regarder attentivement c’est la structure du grain. Jusqu’à 1600 isos j’ai été étonné par la qualité des images pour un compact. Si le grain est toujours présent…j’ai trouvé qu’il n’était pas si gênant que ça…surtout quand on regarde la taille du capteur. Et même si on note l’apparition d’aplat colorés ds les zones d’ombres, le bruit ne laisse pas de cicatrices comme sur certains µ4/3.

C’est clairement aujourd’hui et pour l’instant ce qui se fait de mieux au niveau des compact expert.
Néanmoins la concurrence se fait de plus en plus rude. Encore une fois son prix le rapproche des µ4/3 voir même de certain reflex d’entrée de gamme. Et Samsung nous a aussi promis un compact expert. Le EX1

Si vous avez besoin d’un appareil sérieux mais compact le g11 est fait pour vous.
Idéalement il se glissera ds la poche du photographe confirmé qui dispose déjà de reflex et ne veut pas s’encombrer. Ou aussi de l’amateur photo qui désire passer à un model plus expert avant de véritablement franchir le pas du réflex. Dans tout les cas le G11 est une réussite tant au niveau de sa prise en main, son écran orientable, ses nombreuse option comme le raw, le spot ou la mémorisation d’exposition qui tend étonnamment à disparaitre sur des réflex d’entrée de gamme (!)
Même si elle n’atteint pas encore le niveau des réflex la qualité des images est très bonnes jusqu’à 800 isos voir 1600iso. Sensibilité à laquelle on pourra encore sortir de beau A4.

Test complet du Canon G11

Article rédigé par David Lefevrehttp://www.memoiresdevilles.book.fr/

Aujourd’hui je vais vous parler d’un compact dit « expert » le Canon G11:
Cet appareil sorti il y a presque un an a fait beaucoup parler de lui car c’est la première fois qu’un grand constructeur sort un appareil photo +1 avec une définition moindre que son prédécesseur.
En effet si le G10 proposait 14millions de pixels, à taille de capteur identique le G11 en propose lui « seulement » 10milions. Et la qualité d’image s’en ressent.

L’appareil est un compact doté d’un zoom 28_ 140mm f2,8-4,5. Il est assez épais mais tient bien en main. Il a une petite poignée pour facilité la préhesion et surtout de nombreux racourcis sont disponibles. La compensation d’exposition ou les isos se règlent via un barillet sur le dessus de l’appareil tout comme la selection des modes. La finition est impéccable.
L’écran arrière d’une résolution de 460.000points est monté sur rotules et s’articule en tout sens. C’est une véritable russite; Les menus eux, sont clairs et simples. Ils proposent de nombreuses options de personnalisation. Tant en prise de vues qu’en lecture.

C’est surtout au niveau de la qualité d’image que le G11 se distingue. Ne proposer que 10mp de pixels quand tout le monde se bat pour gagner la course à la définition était un pari risqué et pourtant le résultat est là.
Ce qu’il est intéressant de constater c’est que le bruit n’est jamais réellement absent. De 200 à 400iso le lissage se remarque même avec le réducteur de bruit désactiver. A 800 iso le phénomène s’accentue et certains détails commencent à être un peu grignotés. Pourtant ce qu’il faut regarder attentivement c’est la structure du grain. Jusqu’à 1600 isos j’ai été étonné par la qualité des images pour un compact. Si le grain est toujours présent…j’ai trouvé qu’il n’était pas si génant que ça…surtout quand on regarde la taille du capteur. Et même si on note l’apparition d’aplat colorés ds les zones d’ombres, le bruit ne laisse pas de cicatrices comme sur certains µ4/3.

C’est clairement aujourd’hui et pour l’instant ce qui se fait de mieux au niveau des compact expert.
Néanmoins la concurrence se fait de plus en plus rude. Encore une fois son prix le rapproche des µ4/3 voir même de certain reflex d’entrée de gamme. Et Samsung nous a aussi promis un compact expert. Le EX1

Si vous avez besoin d’un appareil sérieux mais compact le g11 est fait pour vous.
Idéalement il se glissera ds la poche du photographe confirmé qui dispose déjà de reflex et ne veut pas s’encombrer. Ou aussi de l’amateur photo qui désire passer à un model plus expert avant de véritablement franchir le pas du réflex. Dans tout les cas le G11 est une réussite tant au niveau de sa prise en main, son écran orientable, ses nombreuse option comme le raw, le spot ou la mémorisation d’exposition qui tend étonnament à disparaitre sur des réflex d’entrée de gamme (!)
Même si elle n’atteint pas encore le niveau des réflex la qualité des images est trés bonnes jusqu’à 800 isos voir 1600iso. Sensibilité à laquelle on pourra encore sortir de beau A4.

Test complet Canon EOS 550DTest complet Canon EOS 550D

Test complet Canon EOS 550D

Article rédigé par David Lefevrehttp://www.memoiresdevilles.book.fr/

Le canon 550D est le dernier né des entrées de gamme réflex chez Canon.
J’ai eu l’opportunité de l’essayer avec son kit de base le 18-55 et une focale fixe Sigma 30mm f1.4.

La première chose que je me suis dit en prenant le 550D et en exagérant un peu c’est que décidemment, les fans des Canons n’ont certainement jamais tenu un Nikon ou un Pentax entre les mains. Effectivement j’ai été un peu déçu par la finition et la légèreté m’a un peu troublé. Pourtant, une fois cette surprise passé j’ai découvert une formidable machine à photographier.

Le 550D est un réflex amateur de 18mp, petit frère de l’illustre 7D. Il en reprend le capteur, le traitement du bruit et le système d’exposition sur 63 zones mais conserve l’autofocus et le viseur du 500D. Enfin, Canon introduit la video full HD 1080i et HD 720p.

La prise en main est comme je le disais précédemment un peu paradoxale. Au premier abord on a la sensation d’un boitier tout plastique puis peu à peu on trouve ses repères. Beaucoup de touches d’accés direct sont disposnible comme la touche iso ou la gestion d’images. Une nouvelle touche Quick menu d’accés rapide au principales fonctionnalités fait aussi sont apparition.
Le grip caoutchouté est quand à lui efficace pour des mains pas trop grandes.
L’interface graphique est assez réussi car même si il manque une aide contextuelle les pictogrames sont dans leur ensemble assez explicites. Les menus sont assez clairs, bien ordonnancés. J’ai apprécié leur simplification mais je regrette un manque de personnalisation un peu plus poussée ainsi qu’une touche de rappel du Raw par exemple
Le LCD arrière est de trés bonne facture avec des contrastes élevés, 1040000 points et présente un nouveau ratio de 3:2 plus en rapport avec le format des photos réalisées par le boitier . En dessous du viseur on trouve un détecteur de présence qui allume ou éteint automatiquement le viseur. Ce dernier est un peu en retrait par rapport au D90 nottament, avec un grossissement de seulement 0,87.

Le véritable point fort du 550D est sa qualité d’image. Elle est quasiment la meilleur sur ce segment. En effet, là ou d’autres plafonnent entre 12 et 14 mp, le 550D réalise la prouesse d’être autant sinon plus performant dans les hautes sensibilité. Sincèrement j’ai trouvé la qualité des images quasi irréprochable jusqu’à 1600isos. A 3200 c’est trés trés propres même si le bruit de chrominance fait plus clairement sont apparirion. Evidemment ça se dégrade à 6400 pour finir par être presque inexploitable à 12800. Quoique, mais reservons cette ultime sensibilité en secours. Cependant même à 6400 il est possible d’exploiter l’image et de tirer avec un peu de nettoyage de beau A4.
J’ai vraiment été bluffé par la finesse du grain. Le seul petit point faible est à mon avis, par moment, une petite faiblesse d’exposition sur les scènes à fort contraste. Par contre l’AF est lui trés souvent accrocheur et réactif.

Il va s’en dire que j’ai obtenu tout les meilleurs résulats avec le Sigma 30mm. La trés faible profondeur de champs permise par la trés garnde ouverture d’1.4 permet de créer des flous artistiques sympatiques. De même avec le facteur de conversion elle peut être utilisée pour le portrait. Elle reste un peu molle à pleine ouverture mais retrouve du croustillant en fermant de deux ou trois crans le diaph. Le 18-55 n’est pas ridicule surtout que Canon lui a implémenter un stabilisateur. Le range pas trés élevé convient pour la plupart des situations mais sincèrement je pense qu’il est préférable de le troquer contre un transtandard plus lumineux. Le capteur du 550D est capable de délivrer de trés trés bonnes images alors il serait dommage de le brider par un zoom d’entrée de gamme. Enfin étant un fan de focale fixes il me plait de reprendre cette phrase de Cartier Bresson qui répondait lorsqu’on lui demandait quel était le meilleur grand angle: « deux pas en arrières »…

Je ne pourrais pas conclure sans parler du mode video qui est finallement une réussite. Surtout, en 720p 50images / secondes pour des images plus fluides lors des mouvements. Même si l’AF n’est encore une fois absolument pas à la hauteur du GH1, roi inconstesté en la matière, le mode video a un fort potentiel puisqu’il est possible de le débrayer totalement. Les possibilités créatives sont nombreuses, surtout avec des objectif à grandes ouvertures. Le grand capteur APS-C permet de superbe gestion des profondeurs de champs et n’a pas vraiment à rougir devant les Grand frère 7D voir 5dmarkII.

Pour conclure je répête ce que j’ai dis en introduction le 550D est une formidable machine à prendre des images. J’ai vraiment pris beaucoup de plaisir à l’utiliser surtout avec le 30mm de Sigma.
Mes principaux reproches seront liés à une finition un peu cheap, l’absence d’écran orientable et des menus qui manquent de personnalisation. Je ne suis pas pour une courses au pixel surtout lorsqu’elle se fait au détriment de la qualité d’image, mais là je dois avouer que Canon frappe un grand coup.


Test complet Canon EOS 550D

Article rédigé par David Lefevrehttp://www.memoiresdevilles.book.fr/

Le canon 550D est le dernier né des entrées de gamme réflex chez Canon.
J’ai eu l’opportunité de l’essayer avec son kit de base le 18-55 et une focale fixe Sigma 30mm f1.4.

La première chose que je me suis dit en prenant le 550D et en exagérant un peu c’est que décidemment, les fans des Canons n’ont certainement jamais tenu un Nikon ou un Pentax entre les mains. Effectivement j’ai été un peu déçu par la finition et la légèreté m’a un peu troublé. Pourtant, une fois cette surprise passé j’ai découvert une formidable machine à photographier.

Le 550D est un réflex amateur de 18mp, petit frère de l’illustre 7D. Il en reprend le capteur, le traitement du bruit et le système d’exposition sur 63 zones mais conserve l’autofocus et le viseur du 500D. Enfin, Canon introduit la video full HD 1080i et HD 720p.

La prise en main est comme je le disais précédemment un peu paradoxale. Au premier abord on a la sensation d’un boitier tout plastique puis peu à peu on trouve ses repères. Beaucoup de touches d’accés direct sont disposnible comme la touche iso ou la gestion d’images. Une nouvelle touche Quick menu d’accés rapide au principales fonctionnalités fait aussi sont apparition.
Le grip caoutchouté est quand à lui efficace pour des mains pas trop grandes.
L’interface graphique est assez réussi car même si il manque une aide contextuelle les pictogrames sont dans leur ensemble assez explicites. Les menus sont assez clairs, bien ordonnancés. J’ai apprécié leur simplification mais je regrette un manque de personnalisation un peu plus poussée ainsi qu’une touche de rappel du Raw par exemple
Le LCD arrière est de trés bonne facture avec des contrastes élevés, 1040000 points et présente un nouveau ratio de 3:2 plus en rapport avec le format des photos réalisées par le boitier . En dessous du viseur on trouve un détecteur de présence qui allume ou éteint automatiquement le viseur. Ce dernier est un peu en retrait par rapport au D90 nottament, avec un grossissement de seulement 0,87.

Le véritable point fort du 550D est sa qualité d’image. Elle est quasiment la meilleur sur ce segment. En effet, là ou d’autres plafonnent entre 12 et 14 mp, le 550D réalise la prouesse d’être autant sinon plus performant dans les hautes sensibilité. Sincèrement j’ai trouvé la qualité des images quasi irréprochable jusqu’à 1600isos. A 3200 c’est trés trés propres même si le bruit de chrominance fait plus clairement sont apparirion. Evidemment ça se dégrade à 6400 pour finir par être presque inexploitable à 12800. Quoique, mais reservons cette ultime sensibilité en secours. Cependant même à 6400 il est possible d’exploiter l’image et de tirer avec un peu de nettoyage de beau A4.
J’ai vraiment été bluffé par la finesse du grain. Le seul petit point faible est à mon avis, par moment, une petite faiblesse d’exposition sur les scènes à fort contraste. Par contre l’AF est lui trés souvent accrocheur et réactif.

Il va s’en dire que j’ai obtenu tout les meilleurs résulats avec le Sigma 30mm. La trés faible profondeur de champs permise par la trés garnde ouverture d’1.4 permet de créer des flous artistiques sympatiques. De même avec le facteur de conversion elle peut être utilisée pour le portrait. Elle reste un peu molle à pleine ouverture mais retrouve du croustillant en fermant de deux ou trois crans le diaph. Le 18-55 n’est pas ridicule surtout que Canon lui a implémenter un stabilisateur. Le range pas trés élevé convient pour la plupart des situations mais sincèrement je pense qu’il est préférable de le troquer contre un transtandard plus lumineux. Le capteur du 550D est capable de délivrer de trés trés bonnes images alors il serait dommage de le brider par un zoom d’entrée de gamme. Enfin étant un fan de focale fixes il me plait de reprendre cette phrase de Cartier Bresson qui répondait lorsqu’on lui demandait quel était le meilleur grand angle: « deux pas en arrières »…

Je ne pourrais pas conclure sans parler du mode video qui est finallement une réussite. Surtout, en 720p 50images / secondes pour des images plus fluides lors des mouvements. Même si l’AF n’est encore une fois absolument pas à la hauteur du GH1, roi inconstesté en la matière, le mode video a un fort potentiel puisqu’il est possible de le débrayer totalement. Les possibilités créatives sont nombreuses, surtout avec des objectif à grandes ouvertures. Le grand capteur APS-C permet de superbe gestion des profondeurs de champs et n’a pas vraiment à rougir devant les Grand frère 7D voir 5dmarkII.

Pour conclure je répête ce que j’ai dis en introduction le 550D est une formidable machine à prendre des images. J’ai vraiment pris beaucoup de plaisir à l’utiliser surtout avec le 30mm de Sigma.
Mes principaux reproches seront liés à une finition un peu cheap, l’absence d’écran orientable et des menus qui manquent de personnalisation. Je ne suis pas pour une courses au pixel surtout lorsqu’elle se fait au détriment de la qualité d’image, mais là je dois avouer que Canon frappe un grand coup.


Test complet Sigma 150-500 f5-6,3 APO DG OS HSM

Test complet Sigma 150-500 f5-6,3 APO DG OS HSM

Article rédigé par David Lefevrehttp://www.memoiresdevilles.book.fr/

Dispo sur notre boutique:
150-500mm Canon
150-500mm Nikon
150-500mm Pentax
150-500mm Sony

Aujourd’hui je vais vous parler d’un objectif zoom à large plage de focale: le Sigma 150-500 f5-6,3 APO DG OS HSM

Cet objectif couvre les focales du 150 au 500mm soit un équivalent 35 mm de 220-700mm. C’est assez énorme; L’ouverture minimale est f 5 et 6,3, ce n’est pas très lumineux. Le diamètre du filtre est de 86mm. La distance minimale de mise au point est de 2,2m.

Sigma nous propose la Mise au point par autofocus débrayable équipé de la technologie HSM. Autant dire que ça dépote. L’AF se fait très rapidement et silencieusement.

Cet objectif est aussi équipé de la stabilisation débrayable sur deux niveaux;
Le premier corrige les mouvement horizontaux et verticaux, le deuxième, uniquement les mouvement verticaux. Sigma annonce un gain de 4 vitesses par rapport à la vitesse théorique.
Ce qui se confirme que le terrain.

En ce qui concerne la prise en main, l’objectif est bien fini, avec son revêtement gris graphite. La bague de zoom est assez agréable, ainsi que celle de mise au point. Cependant je dois dire qu’à main levé, il me parait illusoire de jouer en mise au point manuel. D’autant plus que l’objectif est lourd, il pèse 1,9kg…Heureusement Sigma offre un collier pour le trépied et qui sert aussi de poignée de transport. Rangé, à 150mm il est assez compact il mesure un peu plus de 25cm mais une fois déplié, avec le pare-soleil en place on atteint plus de 40cm de longueur !

Dernièrement j’ai eu la chance de pouvoir assisté à une course moto d’endurance, et je me suis donc entrainé au dur exercice de la photo filée avec cet objectif.
Ma première remarque concerne le range confortable de l’objectif. J’ai été en quelque sorte bien avisé de prendre cet objectif avec moi. Je l’ai vraiment poussé dans ces derniers retranchements et je trouve qu’il s’en est plutôt bien sortit. En fait d’une façon générale l’objectif se comporte bien entre 150 et 400mm. Il est un peu plus à la peine à 500mm, tant au niveau de la stabilisation qui a forte à faire (à main levé, ça tangue bcp) et l’af a plus de mal à accrocher. Aussi à 500 le piqué est en retrait.
Néanmoins, dans l’ensemble la stabilisation est trés performante, voire salvatrice. J’ai réussi finalement à descendre à des vitesses assez basses sur ce genre d’exercice, à main levé et sur des sujets bougeant aussi rapidement.

Enfin, il ne se prête pas trop à l’exercice du portrait, même si on peut avoir des résultats intéressants. car la distance de mise au point est à mon sens trop éloignée.

Pour conclure Sigma nous propose un objectif d’un très bon rapport qualité prix, autour de 850e.
Il est performant, bien fini, le piqué est très bon sur toute la plage de focale sauf à 500mm où il ne faut pas hésiter à diaphragmer mais gare à la diffraction qui intervient après f11. Au pire, un peu d’accentuation sous Photoshop rendra les images plus croustillante. C’est indéniablement un objectif que je recommande si comme moi vous êtes avide des photos de sports mécaniques ou de photos animalières.

Test complet Sigma 150-500 f5-6,3 APO DG OS HSM

Article rédigé par David Lefevrehttp://www.memoiresdevilles.book.fr/

Aujourd’hui je vais vous parler d’un objectif zoom à large plage de focale: le Sigma 150-500 f5-6,3 APO DG OS HSM

Cet objectif couvre les focales du 150 au 500mm soit un équivalent 35 mm de 220-700mm. C’est assez énorme; L’ouverture minimale est f 5 et 6,3, ce n’est pas très lumineux. Le diamètre du filtre est de 86mm. La distance minimale de mise au point est de 2,2m.

Sigma nous propose la Mise au point par autofocus débrayable équipé de la technologie HSM. Autant dire que ça dépote. L’AF se fait très rapidement et silencieusement.

Cet objectif est aussi équipé de la stabilisation débrayable sur deux niveaux;
Le premier corrige les mouvement horizontaux et verticaux, le deuxième, uniquement les mouvement verticaux. Sigma annonce un gain de 4 vitesses par rapport à la vitesse théorique.
Ce qui se confirme que le terrain.

En ce qui concerne la prise en main, l’objectif est bien fini, avec son revêtement gris graphite. La bague de zoom est assez agréable, ainsi que celle de mise au point. Cependant je dois dire qu’à main levé, il me parait illusoire de jouer en mise au point manuel. D’autant plus que l’objectif est lourd, il pèse 1,9kg…Heureusement Sigma offre un collier pour le trépied et qui sert aussi de poignée de transport. Rangé, à 150mm il est assez compact il mesure un peu plus de 25cm mais une fois déplié, avec le pare-soleil en place on atteint plus de 40cm de longueur !

Dernièrement j’ai eu la chance de pouvoir assisté à une course moto d’endurance, et je me suis donc entrainé au dur exercice de la photo filée avec cet objectif.
Ma première remarque concerne le range confortable de l’objectif. J’ai été en quelque sorte bien avisé de prendre cet objectif avec moi. Je l’ai vraiment poussé dans ces derniers retranchements et je trouve qu’il s’en est plutôt bien sortit. En fait d’une façon générale l’objectif se comporte bien entre 150 et 400mm. Il est un peu plus à la peine à 500mm, tant au niveau de la stabilisation qui a forte à faire (à main levé, ça tangue bcp) et l’af a plus de mal à accrocher. Aussi à 500 le piqué est en retrait.
Néanmoins, dans l’ensemble la stabilisation est très performante, voire salvatrice. J’ai réussi finalement à descendre à des vitesses assez basses sur ce genre d’exercice, à main levé et sur des sujets bougeant aussi rapidement.

Enfin, il ne se prête pas trop à l’exercice du portrait, même si on peut avoir des résultats intéressants. car la distance de mise au point est à mon sens trop éloignée.

Pour conclure Sigma nous propose un objectif d’un très bon rapport qualité prix, autour de 850e.
Il est performant, bien fini, le piqué est très bon sur toute la plage de focale sauf à 500mm où il ne faut pas hésiter à diaphragmer mais gare à la diffraction qui intervient après f11. Au pire, un peu d’accentuation sous Photoshop rendra les images plus croustillante. C’est indéniablement un objectif que je recommande si comme moi vous êtes avide des photos de sports mécaniques ou de photos animalières.